
LA FONDATION
CONSEIL D’ADMINISTRATION


Daniel St-Hilaire
Vice-président, relations publiques
Natif de Sherbrooke en 1954, Daniel St-Hilaire passe sa jeunesse dans l’est de Montréal, dans le quartier Tétreautville. Il adore le baseball et se fait remarquer en 1969 par l’organisation des Expos de Montréal. Il participe à un camp d‘évaluation, mais l’appel ne vient pas. Ensuite, Daniel pratique l’athlétisme il bat en 2 occasions le record canadien en saut en hauteur, en catégorie Jeunesse. Il est sélectionné en 2 occasions sur l’Équipe nationale Junior en 1973-1974. Son record personnel se situe à 2m11 !
Son parcours académique est assez sinueux, il va chercher un diplôme dans les écoles de métiers de Montréal comme électricien et électronicien. Ensuite, il obtient un DEC en sciences sociales au Cegep Rosemont. Il rêvait de devenir un ‘’Indiana Jones’’ québécois .
Puis, il passe deux années au Collège Palomar en Californie afin de terminer sa carrière d’athlète, ainsi que pour maitriser la langue anglophone. Il revient au Québec, puis obtient un baccalauréat en enseignement de l’éducation physique à l’Université McGill, (1981) ainsi qu’un certificat en communication de l’École Promedia (1991)
Sa carrière d’athlète terminée, il va chercher plusieurs diplômes en coaching (PNCE-Canada) (IAAF-International).
Il devient également conférencier et directeur de cours pour ces deux organismes. Il recrute et forme plusieurs champions dans les épreuves de sprints et sauts. Plusieurs de ces derniers ont participé à divers Championnats Mondiaux, Jeux Olympiques et d’autres Grands Jeux.
Parmi ces grands athlètes, citons les Canadiens Bruny Surin, Alain Métellus, Kwaku Boating, Ian Lowe, Kimberly Hyacinthe, Philomena Mensah, Jarek Kulesza, Nicolas Macrozonaris, Hank Palmer, Charles Lefrancois et Watson Nyambek de la Malaisie.
Durant toutes ces années, il lui est arrivé en quelques occasions d’avoir à aller défendre ses athlètes ou lui-même devant des tribunaux sportifs ou devant la Cour de Justice. L’une de ces causes causa même la démission du Ministre délégué aux sports du niveau fédéral de l’époque, un certain Jean Charest (Charest avait appelé un juge!)
St-Hilaire fut par la suite affligé de plusieurs sobriquets par les médias (Le Maverick. L’emmerdeur, le rebel , le brasseur de merde…)
Défendre ses droits dans le sport était devenu presqu’à l’index. Si le terme ‘’COMPLOTISTE’’ avait été disponible, il en aurait sûrement hérité.
Ensuite, il s’exile à Monte-Carlo afin d’être disponible à pieds levés pour remplacer en Afrique et ailleurs des formateurs indisposés en raison de maladie. Ces remplacements l’ont mené à vivre une vie de Québécois errant : (Haïti, République Centrafricaine, Mali, Cote d Ivoire, Sierra Leone, Australie, Malaisie, Borneo, Guyane Anglaise, Porto Rico, Sri Lanka)
C’est lors de ces missions en Afrique qu’il rencontre sa future épouse. Une Malienne du nom de Aicha. En 1994, Aicha et Daniel se marient à Abidjan en Côte d’Ivoire. Puis, Daniel accepte le poste d’entraîneur-chef de l’Équipe Nationale de la Malaisie en athlétisme. Leur fils Philippe-Abdoulaye vient au monde à Kajang, en banlieue de Kuala-Lumpur en Novembre 1995.
De retour au Québec en 1998, Daniel prend une année sabbatique, puis décide continuer sa carrière d’entraîneur…17 ans passent, puis un chasseur de tête ‘’politique’’ le convainc de se présenter aux Élections Fédérales de 2015 sous la bannière du Bloc Québécois dans le Comté d’Alfred-Pelland situé à Laval. Puis en 2018, il discute avec Bernard Gauthier de Citoyens au Pouvoir (CAP) lors d’une émission de radio à Montréal. Lorsque Stéphane Blais est élu Chef de CAP, il décide de briguer la Circonscription de Maurice-Richard dans le quartier Ahuntsic-Cartierville.
Il participe également à titre de figurant et de consultant à quelques films, dont ‘’Race en anglais ou 10 secondes de liberté en Français’’ Ce film sur la vie de Jesse Owens, raconte l’histoire d’un jeune sprinter noire américain, qui ose remporter 4 médailles d’or devant Adolf Hitler aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936. Également en 2018, Daniel devient ambassadeur au Québec pour une nouvelle technologie qui allie luminothérapie et relaxation. Il fonde LUMINOSPORT !
Daniel joint la FDDLP en Juillet 2020 à titre de vice-président. Il tient mordicus à continuer à défendre les droits et libertés des citoyens québécois dans un environnement sain.
Finalement, il prend sa retraite du coaching en Août 2020. Ses activités au sein de la FDDLP dérangeaient le monde sportif montréalais et québécois…Il a choisi le peuple, au-lieu de demeurer dans un monde axé sur l’obéissance à des mesures sanitaires basées sur la politique, et non la science!
Il quitte la scène athlétique québécoise en apportant avec lui des souvenirs de ses participations à 5 Jeux Olympiques (1984 Los Angeles, 1988 Séoul, 1996 Atlanta, 2000 Sydney, 2004 Athènes )