L’Ordre des infirmières et des infirmiers du Québec ne respecte pas sa mission de protection du public

L’Ordre des infirmières et des infirmiers du Québec (OIIQ) ne respecte pas son code de déontologie et sa mission de protection du public, selon une centaine d’infirmières et d’infirmiers.

Dans une lettre ouverte percutante concernant les injections contre la COVID-19, ces professionnels de la santé dénoncent le manque d’éthique de l’OIIQ, preuves scientifiques et code de déontologie à l’appui.

Ces soignants soulèvent le fait qu’il s’agit d’une thérapie expérimentale, que la population est victime de coercition et que les risques sont plus grands que les bénéfices pour les enfants. Ils et elles s’inquiètent également des effets secondaires, de la pharmacovigilance déficiente et de l’obligation des injections.

De nombreux professionnels de la santé ainsi que des citoyens ont signé cette déclaration.

Nous vous invitons à lire attentivement la lettre, qui contient une foule d’arguments solides, et à la signer :

https://infdebout.wixsite.com/website-1/post/lettre-adress%C3%A9e-%C3%A0-l-ordre-des-infirmi%C3%A8res-et-infirmiers-du-qu%C3%A9bec

Voici un extrait :

Est-il juste de penser que la trousse d’information [sur les vaccins] fournie par le gouvernement québécois et diffusée par l’OIIQ manquait d’information? Peut-être direz-vous qu’au moment où cette trousse a été écrite, l’information n’était pas encore disponible. Mais le principe de précaution n’aurait-il pas dû prévaloir? N’aurait-il pas été plus juste d’informer la population de l’absence de connaissances sur les risques à long terme, comme mentionné dans les monographies de l’époque? Par exemple, dans la monographie de Pfizer, on pouvait lire ceci : « L’évaluation de l’innocuité est toujours en cours chez les participants de l’étude 2 [8]». Rappelons que selon le Code de déontologie des infirmières et infirmiers, « l’infirmière ou l’infirmier doit s’abstenir de délivrer à quiconque et pour quelque motif que ce soit un certificat de complaisance ou des informations écrites ou verbales qu’il sait erronées[9]. »

Pouvons-nous donc déduire que l’information était incomplète lorsque la majorité des Québécois ont été injectés? Dans un souci de préserver un lien de confiance entre la population et la profession infirmière, il importe de transmettre l’information la plus transparente possible au public. Comment pouvons-nous désormais répondre aux questions et aux inquiétudes d’une personne qui se sent trompée en apprenant avoir fait l’objet d’un essai clinique sans en avoir été informée? Comment justifier que des effets secondaires graves sont maintenant reconnus par les fabricants et déclarés sur les registres officiels des effets secondaires des vaccins, alors que le gouvernement et les médias ont affirmé qu’il n’y en avait pas? Comment expliquer aux gens qui sont allés consulter à la suite de manifestations cliniques inhabituelles pourquoi ils ont été ignorés alors que le vaccin est toujours en phase 3 des essais cliniques[10] ?

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