Notre équipe

Conseil d’administration

Stéphane Blais

Président-fondateur et porte-parole de la FDDLP

Stéphane mandate et coordonne les équipes d’avocats plaideurs.
Appuyé sur ses expériences et ses compétences en tant que comptable,
il veille à la saine gestion des finances de la Fondation.
Depuis plusieurs années, son rôle de père le motive à militer pour une refonte
en profondeur de nos institutions publiques, but qu’il s’est fixé non pas
seulement pour lui-même, mais pour le bien collectif.

Biographie

Stéphane Blais est né le 12 août 1970 à La Sarre en Abitibi-Témiscamingue.

Il a grandi à Saint-Félix-de-Dalquier, petit village près d’Amos en Abitibi.

Il est issu d’une famille d’entrepreneurs qui possédait l’épicerie du village et quelques autobus scolaires. C’est de là que Stéphane tient sa facilité à entrer en relation avec les autres et son côté entrepreneur.

En 1987, Stéphane termine son secondaire. Il sera par la suite sélectionné lors d’une série d’entrevues pour être l’étudiant du district d’Amos qui ira étudier un an à Perth en Australie dans le Cadre du programme d’échange étudiant du club Rotary international. Cet échange permettra à Stéphane d’améliorer sa maîtrise de l’anglais mais surtout de se lier d’amitié avec des jeunes des 4 coins du monde.

Lors de son retour au pays à l’automne 1988, Stéphane découvre Anthony Robbins dans le cadre d’une entrevue qu’il donnera a Robert-Guy Scully à Radio-Canada. Cette entrevue inspirera Stéphane à développer les cinq postulats et les 7 qualités des grands leaders sur lesquels il fondera par la suite ses actions.

Automne 1988 : Stéphane s’inscrit au Séminaire Saint-Augustin à Saint-Augustin- de-Desmaures près de Québec, où il fera ses études collégiales. Par la suite, il fréquentera l’université Laval de Québec et il y complétera un baccalauréat en science politique et une licence en science comptable combinant ainsi ses deux passions : les affaires et les sciences sociales.

De 1997 à 2002 Stéphane travaillera successivement pour les firmes comptables Raymond Chabot Grant Thornton,  Choquette Corriveau et Samson Bélair Deloitte & Touche.

En 2003, il fonde son propre cabinet comptable : Blais CPA inc.

Stéphane a été membre de l’ordre des CPA de septembre 2003 à mars 2021.

C’est en 2013 que Stéphane deviendra activiste sur le terrain en étant candidat à la mairie de Lévis. En 2014 il fonde le Mouvement intégrité Québec et il donnera par la suite une série de conférences sur la nécessité de comprendre l’influence négative du système bancaire et des paradis fiscaux sur la démocratie et les finances publiques et sur la nécessité d’instaurer au Québec une véritable démocratie grâce au référendums d’initiatives populaires.

En janvier 2018 il devient chef de Citoyens Au Pouvoir du Québec. Suite a un remaniement en profondeur du parti, il sera en mesure en moins de trois mois de présenter 56 candidats aux élections générales de 2018.

Cette élection de 2018 aura permis de regrouper, entre autres, plusieurs figures aujourd’hui connues comme des leaders de la résistance dans le cadre de la crise sanitaire.  Parmi ces figures connues on retrouve Alexis Cossette-Trudel, Daniel Pilon, Daniel St-Hilaire, Stéphane Lévesque et Réjean Couture.

Printemps 2020, Stéphane crée la fondation pour la défense des droits et libertés du peuple (la Fondation).

La Fondation va mettre sur pied l’une des plus grandes poursuites contre les mesures sanitaires sur la planète, lors de laquelle les plus grands experts internationaux seront mis à contribution.

La mission de la Fondation est de défendre les droits et libertés du peuple en mettant l’emphase sur l’éveil collectif, la mobilisation du peuple et en mettant sur pied des poursuites légales tant au civil qu’au criminel.

Stéphane est père de quatre enfants et le conjoint de Marie-Josée Dutil de Saint-Gédéon-de-Beauce.

Ses modèles sont Anthony Robbins, Robert F. Kennedy et Martin Luther King.

Ses valeurs : Liberté, intégrité, responsabilisation individuelle

M. Stéphane Blais
Président-fondateur et
porte-parole de la FDDLP

Daniel St-Hilaire

Vice-président, relations publiques

À titre d’administrateur, Daniel s’assure de maintenir un canal de communication ouvert avec les activistes du mouvement promouvant la défense des droits et libertés au Québec et hors Québec. 

Il veille également à informer les membres du CA de la FDDLP des décisions politiques et judiciaires récentes qui peuvent aider la FDDLP à faire des avancées sur les plans juridiques et sur les plans de l’éveil collectif en lien avec la mission de la Fondation. 

 

Biographie

Natif de Sherbrooke en 1954, Daniel St-Hilaire passe sa jeunesse dans l’est de Montréal, dans le quartier Tétreautville. Il adore le baseball et se fait remarquer en 1969 par l’organisation des Expos de Montréal. Il participe à un camp d‘évaluation, mais l’appel ne vient pas. Ensuite, Daniel pratique l’athlétisme il  bat en 2 occasions le record canadien en saut en hauteur, en catégorie Jeunesse. Il est sélectionné en 2 occasions sur l’Équipe nationale Junior en 1973-1974. Son record personnel se situe à 2,11 mètres.

Son parcours académique est assez sinueux, il va chercher un diplôme dans les écoles de métiers de Montréal comme électricien et électronicien. Ensuite, il obtient un DEC en sciences sociales au Cegep Rosemont. Il rêvait de devenir un ‘’Indiana Jones’’ québécois .

Puis, il passe deux années au Collège Palomar en Californie afin de terminer sa carrière d’athlète, ainsi que pour maitriser la langue anglaise.  Il revient au Québec, puis obtient un baccalauréat en enseignement de l’éducation physique à l’Université McGill, (1981) ainsi qu’un certificat en communication de l’École Promedia (1991).

Sa carrière d’athlète terminée, il va chercher plusieurs  diplômes en coaching (PNCE-Canada) (IAAF-International).

Il devient également conférencier et directeur de cours pour ces deux organismes. Il recrute et forme plusieurs champions dans les épreuves de sprints et de sauts. Plusieurs de ces derniers ont participé à divers Championnats Mondiaux, Jeux Olympiques et d’autres Grands Jeux.

Parmi ces grands athlètes, citons les Canadiens Bruny Surin, Alain Métellus, Kwaku Boating, Ian Lowe, Kimberly Hyacinthe, Philomena Mensah, Jarek Kulesza, Nicolas Macrozonaris, Hank Palmer, Charles Lefrancois et le Malaisien Watson Nyambek.

Durant toutes ces années, il lui est arrivé à quelques occasions d’avoir à aller défendre ses athlètes ou lui-même devant des tribunaux sportifs ou devant la cour de justice. L’une de ces causes causa même la démission du ministre délégué aux sports du niveau fédéral de l’époque, un certain Jean Charest (Charest avait appelé un juge!)

St-Hilaire fut par la suite affligé de plusieurs sobriquets par les médias (“le maverick” , ” l’emmerdeur”, “le rebel “)

Défendre ses droits dans le sport était devenu presqu’à l’index. Si le terme ‘’COMPLOTISTE’’ avait été disponible à l’époque, il en aurait sûrement hérité.

Ensuite, il s’exile à Monte-Carlo afin d’être disponible à pieds levés pour remplacer, en Afrique  et ailleurs, des formateurs indisposés en raison de maladie. Ces remplacements l’ont mené à vivre une vie de “Québécois errant” : (Haïti, République Centrafricaine, Mali, Cote d’Ivoire, Sierra Leone, Australie, Malaisie, Borneo, Guyane Anglaise, Porto Rico, Sri Lanka).

C’est lors de ces missions en Afrique qu’il rencontre  sa future épouse. Une Malienne du nom de Aicha. En 1994, Aicha et Daniel se marient à Abidjan en Côte d’Ivoire.  Puis, Daniel accepte le poste d’entraîneur-chef de l’Équipe Nationale de la Malaisie en athlétisme. Leur fils Philippe-Abdoulaye vient au monde à Kajang, en banlieue de Kuala-Lumpur en Novembre 1995.

De retour au Québec en 1998, Daniel prend une année sabbatique, puis décide continuer sa carrière d’entraîneur…17 ans passent, puis un chasseur de tête ‘’politique’’ le convainc de se présenter aux élections fédérales de 2015 sous la bannière du Bloc Québécois dans le Comté d’Alfred-Pelland situé à Laval. Puis en 2018, il discute avec Bernard Gauthier de Citoyens au Pouvoir  (CAP) lors d’une émission de radio à Montréal. Lorsque Stéphane Blais est élu Chef de CAP, il décide de briguer la Circonscription de Maurice-Richard dans le quartier Ahuntsic-Cartierville.

Il participe également à titre de figurant et de consultant à quelques films, dont  ‘’Race en anglais ou 10 secondes de liberté en Français’’  Ce film sur la vie de Jesse Owens, raconte l’histoire d’un jeune sprinter noire américain, qui ose remporter 4 médailles d’or devant Adolf Hitler aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936. Également en 2018, Daniel devient ambassadeur au Québec pour une nouvelle technologie qui allie luminothérapie et relaxation. Il fonde LUMINOSPORT !

Daniel joint la FDDLP en Juillet 2020 à titre de vice-président. Il tient mordicus à continuer à défendre les droits et libertés des citoyens québécois dans un environnement sain.

Finalement, il prend sa retraite du coaching en Août 2020.  Ses activités au sein de la FDDLP dérangeaient le monde sportif montréalais et québécois…Il a choisi le peuple, au-lieu de demeurer dans un monde axé sur l’obéissance à des mesures sanitaires basées sur la politique, et non la science!

Il quitte la scène athlétique québécoise en apportant avec lui des souvenirs de ses participations à 5 Jeux Olympiques (1984 Los Angeles, 1988 Séoul, 1996 Atlanta, 2000 Sydney, 2004 Athènes )

M. Daniel St-Hilaire
Vice-président, relations publiques

Guylaine Renaud

BAV, Marketing
Directrice générale du Club des Ambassadeurs

Guylaine occupe le poste de directrice générale du club des Ambassadeurs de la FDDLP.

Sa polyvalence, son dynamisme et son expérience permettent de veiller à l’essor du club et à la concrétisation d’événements visant à tisser des liens forts entre les Ambassadeurs.

 

Biographie

Guylaine est née en septembre 1962. Elle et la 3e d’une famille de 5 enfants. Native de Beauport, elle y habitera jusqu’en 1998 pour finalement opter pour la vie en campagne.

Étant l’enfant du milieu, Guylaine a appris jeune à faire son chemin. Elle s’est démarquée par sa grande créativité et sa débrouillardise. Elle a commencé très jeune à créer de ses deux mains, au point que chaque année lors de la fête de Noël, sa grand-mère Jeannette disait « ce n’est pas Guylaine qui a fait ça », c’est devenu un running gag familial.

Issue d’une famille modeste, où le travail est plus important que les études, elle décide d’entreprendre des études en service social au Cégep de Ste-Foy. Elle y fera un DEC de 1982 à 1984. Elle travailla ensuite dans plusieurs CLSC et dans divers programmes. Elle entreprend des études universitaires en communications graphiques, de 1992 à 1994.

En 1991, elle donna naissance à son premier fils. Elle était à l’époque monoparentale. Malgré tout, elle se dirige vers les études universitaires. Elle a travaillé très fort, car elle a décroché un certificat en arts plastiques et un BAC en communication graphique en 28 mois de travail.

En 1994, elle rencontra l’homme de sa vie. Un deuxième enfant vit le jour en 1996 et un 3e en 1999. Une belle vie à la campagne très occupée par la famille et ses nombreux projets.

En 2000, elle démarra son entreprise en lettrage de tout genre, photo et graphisme. Elle s’est impliquée dans plusieurs projets afin d’être active avec ses enfants. Gérante de hockey, comité de financement, fabrication de décors de scène, photo sportive, bref les projets ne cesse de s’ajouter.

Elle organisera, pour deux années consécutives, des partys de Noël pour les PME. La première année, 138 personnes feront partie de cet événement. Devant le grand succès de ce party, 350 personnes seront de la fête pour la seconde année.

Elle sera aussi de l’organisation du premier festival country de St-Apollinaire.

En 2015, elle met sur pied la Fondation J’allume une étoile. Cette fondation vient en aide aux parents qui sont confrontés à la perte d’un enfant, que ce soit lors d’une grossesse ou d’un accouchement. C’est un service de photo, qui sera offert 7 jours/7 et 24 heures/24. Elle fera de longues journées de travail afin que cette fondation soit sur pied.

Au début, elle était en charge de tout; création, administration, photo, retouche, recrutement, financement, marketing. Bref des journées de travail qui n’en finissent plus. Le résultat est là, après quelques mois seulement, la Fondation s’affilie au CHU de Québec et offre aux parents un service de grande qualité. Les bénévoles sont nombreux et deviennent rapidement sa seconde famille.

Elle se sent forcée de quitter son poste de présidente suite à la pandémie de covid. Son opinion sur cette crise ne fait pas l’unanimité au sein de CA. On lui demande gentiment d’être discrète sur le sujet. Ce qu’elle refuse catégoriquement. Son authenticité prendra le dessus et elle décide de quitter complètement cette fondation. C’est un deuil immense de devoir abandonné ce projet qui lui tenait tant à cœur.

Aujourd’hui, elle s’implique avec la Fondation pour la défense des droits et libertés du peuple. Elle croit plus que tout que la liberté est fondamentale pour tout être humain et qu’il faut la défendre à tout prix. 

Elle se fera remarquer par sa polyvalence, sa détermination et sa créativité. Elle peut accomplir plusieurs tâches au sein de la FDDLP, ce qui lui apporte une grande satisfaction.

En quelques mots, Guylaine est une femme courageuse, très travaillante, créative au point qu’elle pourrait vendre des idées. Elle est débrouillarde, déterminée et audacieuse. Elle dit ce qu’elle pense et fait ce qu’elle dit. Vous connaissez l’expression : « Se virer sur un dix cents » elle dit souvent à la blague que c’est elle qui l’a inventé !

Elle a su défendre les plus démunies avec son travail d’intervenante sociale. Maintenant, elle a envie de défendre les plus forts, ceux qui se battent et qui résistent. Ceux qui veulent vivre dans un monde libre et souverain !

 

 

Michel Aumont

Administrateur
Michel Aumont siège sur les comités névralgiques que sont le C.A. de la FDDLP, le comité juridique et le comité des finances.
Son expérience à titre de professionnel de la santé et son expérience à titre d’homme d’affaires apporte une plus-value
très importante dans la planification/contrôle, les stratégies,  l’organisation et la direction de la Fondation.

 

Biographie

A venir

Soutien à la FDDLP (Groupe Noyau)

Julie Lévesque

Journaliste indépendante

Julie Lévesque est titulaire d’un baccalauréat en études allemandes, d’un certificat en journalisme et d’un certificat en traduction 3e langue, avec spécialisations en langage économique/financier et médical/pharmaceutique. Elle est également professeure certifiée d’anglais langue seconde, avec spécialisation en anglais des affaires, enseignement de l’écriture au primaire et préparation au Test d’anglais langue étrangère (TOEFL), un test d’admission à l’université pour les non-anglophones. Elle suit actuellement une formation en neuroscience comportementales (biopsychologie).

Avant d’aller enseigner l’anglais en Chine en 2015, elle a travaillé 6 ans comme journaliste pour le Centre de recherche sur la mondialisation, un média indépendant fondé par le professeur émérite d’économie à l’Université d’Ottawa, Michel Chossudovsky.

Revenue au Québec en août 2020 pour lutter contre la tyrannie sanitaire, elle devient journaliste et chargée des communications pour la FDDLP en avril 2021.

Julie est également demanderesse dans plusieurs recours financées par la FDDLP que vous retrouverez ici : https://fddlp.org/procedures-et-rapports/

Biographie

Julie Lévesque est titulaire d’un baccalauréat en études allemandes, d’un certificat en journalisme et d’un certificat en traduction 3e langue, avec spécialisations en langage économique/financier et médical/pharmaceutique. Elle est également professeure certifiée d’anglais langue seconde, avec spécialisation en anglais des affaires, enseignement de l’écriture au primaire et préparation au Test d’anglais langue étrangère (TOEFL), un test d’admission à l’université pour les non-anglophones. Elle suit actuellement une formation en neuroscience comportementales (biopsychologie).

Julie est une militante de longue date. En 2008, elle commence à traduire bénévolement des textes sur la crise financière pour le Centre de recherche sur la mondialisation, un média indépendant fondé par le professeur émérite d’économie à l’Université d’Ottawa, Michel Chossudovsky. Dès la fin de ses études en 2009, elle commence à y travailler comme journaliste, traductrice et plus tard comme rédactrice adjoint.

Lors de la fausse pandémie de H1N1, elle dénonce la couverture médiatique mensongère et développe un intérêt marqué pour le thème de la santé. Elle découvre au fil du temps l’influence tentaculaire de l’industrie pharmaceutique et le phénomène de capture règlementaire, lequel explique comment les intérêts privés prennent possession des institutions publiques afin d’orienter leurs décisions à leur profit et au détriment des intérêts publics. Les connaissances et l’expérience qu’elle a acquises sur ce sujet durant les 12 dernières années lui sont plus précieuses que jamais dans la crise actuelle.    

Entre 2010 et 2015 Julie s’attaque surtout à la propagande de guerre, plus particulièrement la propagande médiatique d’ici et d’ailleurs.

En 2010, elle visite Haïti dans la foulée du séisme et se penche sur le côté sombre de l’aide internationale. Au lieu d’aider les populations pauvres à devenir autonomes et à s’enrichir, l’aide internationale offerte par les pays riches maintient ces populations dans la dépendance, assurant ainsi la pérennité des organisations non gouvernementales étrangères et la protection de ces marchés pour les entreprises privées des pays du Nord.

L’année suivante Julie participe à une mission humanitaire pour Gaza où elle et son groupe sont directement confrontés à la marine israélienne. En 2013 elle devient coordonnatrice bénévole au journal satirique Le Couac, où elle écrit sous le pseudonyme Suzie de Nazareth. En 2014, elle participe à une mission d’observation des élections au Salvador, où elle rencontre de nombreux membres de la guérilla qui ont lutté contre la junte militaire à l’origine de meurtres de masse, de torture et d’exécutions sommaires dans les années 1980.

Tout au long de ces années de lutte contre la propagande médiatique, Julie acquiert énormément de connaissances dans les techniques de propagande, de persuasion et de manipulation ainsi que dans la psychologie des foules. À cela s’ajoute ses connaissances sur l’Allemagne nazie, l’industrie pharmaceutique, les conflits d’intérêts en santé et divers mouvements militant contre la dictature et le totalitarisme, un bagage qui lui permet d’analyser la nouvelle tyrannie sanitaire actuelle sous des angles idéologiques, factuels et historiques complètement ignorés et/ou incompris par les journalistes des grands médias.

En 2015, Julie quitte le Québec pour aller enseigner l’anglais en Chine et tombe sous le charme de ce pays trop souvent mécompris par les Occidentaux. Durant son séjour dans l’Empire du milieu, elle fonde le Tribunal de l’infaux, un site web où elle publie des articles et des plaintes formelles aux médias et au Conseil de presse du Québec. Ce dernier, majoritairement financé par les grands médias, cesse rapidement de traiter ses plaintes en raison de ses convictions politiques, un motif interdit de discrimination selon la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse du Québec.

En sol chinois au début de la saga covidienne, Julie constate rapidement que la représentation médiatique occidentale de la crise ne colle pas à la réalité sur le terrain. Dès son retour au Québec en août 2020, elle est choquée de voir que les mesures sanitaires sont extrêmement plus strictes au Québec que dans la dictature communiste où elle a vécu.

Dans les mois qui suivent son retour au bercail, Julie s’investit à fond, bénévolement, dans le réseautage et le militantisme. Elle collabore avec divers groupes et influenceurs, et devient chargée des communications et journaliste pour la FDDLP en avril 2021.

Julie est une militante indéfectible qui ne se laisse pas intimider et elle est déterminée à franchir tous les obstacles qui se dressent sur son chemin. Elle luttera jusqu’au bout contre la dictature sanitaire qui s’est imposée sur son peuple par la peur et la manipulation des dirigeants et des médias.  

 

Julie Lévesque est journaliste indépendante. Elle s’est spécialisée dans la critique des médias durant plusieurs années au Centre de recherche sur la mondialisation (mondialisation.ca) avant d’aller enseigner l’anglais en Chine en 2015. Elle est retournée au Canada en août 2020 pour s’impliquer au sein de divers groupes dissidents, principalement avec la Fondation pour la défense des droits et libertés du peuple. Depuis 2017 elle publie des textes et vidéos sur son propre site Web, le Tribunal de l’infaux (tribunaldelinfaux.com).

Lily Monier

Lily Monier chapeaute à titre de demandresse et chargée de projet, le principal pourvoi en contrôle judiciaire financée par la Fondation qui vise à faire déclarer inconstitutionelle l’application par le gouvernement du Québec des mesures sanitaires liées à la COVID19

Référence du pourvoi à la cour supérieure :  500-17-115847-215

Biographie

Lily Monier est titulaire d’un baccalauréat en Relations industrielles. Éprise de liberté, de justice et de droits fondamentaux, elle a également fait sa première année de droit, puis enchaîné avec plusieurs formations : médiation, relation d’aide, communication non violente et intervention en situation de crise.

Sa rigueur et son sens de l’engagement social l’ont conduite successivement au sein d’organisations telles de prestigieux bureaux d’avocats de Montréal, des agences (sténographes) de transcription de procès, Suicide Action Montréal, un organisme de justice alternative (médiatrice) et, plus récemment, la Fondation pour la défense des droits et libertés du peuple, au sein de laquelle elle œuvre depuis octobre 2020.

Un virage important s’est opéré en elle lorsqu’elle a procédé à l’analyse du projet de Loi 61 du Gouvernement du Québec en juin 2020. Préoccupée par plusieurs articles du projet qui comportaient des risques de dérive démocratique, c’est à titre de citoyenne engagée qu’elle a choisi de s’impliquer activement dans une démarche axée sur la défense des droits individuels et collectifs via différents recours légaux et des interventions ponctuelles sur les médias sociaux.

Me Richard Goyette, avocat

Me Richard Goyette agit bénévolement comme conseiller légal pour le conseil d’administration de la Fondation. Il participe également à l’enregistrement de diverses capsules informatives destinées au grand public en compagnie des membres du conseil d’administration et du Groupe noyau de la FDDLP.

Il participe à toutes les réunions liées aux recours juridiques financés par la FDDLP en vue d’apporter un éclairage juridique basé sur plus de 40 ans de pratique en droit.

Biographie

Me Richard Goyette est un avocat spécialisé en droit social et du travail.

Il a enseigné le droit de la santé et sécurité au travail (SST) à l’Université de Montréal de 1982 à 1996.

Il est affilié au syndicat FTQ-construction et cumule plus de 40 ans de pratique comme avocat.

Quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier. Même si elle met plus de temps, la vérité finit toujours par arriver !

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